Nous avons toujours clamé haut et fort qu’il fallait absolument faire quelque chose pour préserver notre patrimoine Juif Marocain, il est évident que les instances communautaires juives marocaines font du mieux qu’elles peuvent pour palier à ce problème, mais il était indispensable d’avoir un coup de pouce externe, mais lequel.
Aujourd’hui c’est chose faite, une initiative combien louable et efficace a entrepris d’en faire de sorte. Notre Roi Mohamed VI, Roi du Maroc, que D’ le bénisse et le protège, ainsi que toute la famille royale, a ordonné de préserver tous les lieux de dernière heure, les cimetières juifs du Maroc dans leur totalité. L’initiative est de faire ériger des murs protecteurs tout autour des cimetières de toutes les villes du Maroc, car depuis un certain temps, beaucoup de ces cimetières étaient laissés à l’abandon et aux mains de certains mal intentionnés, qui s’acharnaient à détruire, violé ces lieux saints et de repos de nos ancêtres, comme il a été question au cimetière de Safi, celui de Azzemour, etc…..
Aujourd’hui, il s’agit d’une réelle entreprise de préservation et de protection qui a débuté, nous n’avons pas plus de précision, mais les travaux sont bien en cours et ont déjà été finalisés dans certaines villes majeures, telles que Marrakech, Agadir, nous reviendrons avec plus de détails sur les villes finies et celles encore à venir.
Cependant, nous aimerions pouvoir suggérer qu’il ne faudra pas négliger certaines petites villes du Maroc, assez reculées géographiquement des grands centres citadins connus et penser à pouvoir les protéger de ces murs de briques et des mains bénies du commanditaire de cette de cette opération que D’ l’assiste dans toutes ses œuvres et réalisations.
Il s’agit donc d’une entreprise majeure dans la préservation du Patrimoine Marocain et Juif, qui sont à mon sens, un seul et même patrimoine et une même histoire.
Nous tenions à la saluer et dans la lancée, inspirer nos instances communautaires pour innover dans de telles initiatives et opérations de préservation, combien majeures.
Georges SEBAT